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À 30 ans, et après près de 15 ans dans la vente, j’ai succombé à ce métier de passion, qui était peut-être finalement écrit pour moi depuis le début.
En 2019, alors manager des ventes, je décide de suivre une formation pour décrocher le CAP Pâtissier. Le confinement pointe le bout de son nez quelques mois plus tard, et me donne le temps nécessaire pour obtenir le fameux diplôme en juillet 2020.
En mars 2021, je me lance officiellement et crée Dérives Sucrées, ma pâtisserie en ligne.
Une dérive peut être considérée comme un écart, une déviation incontrôlée, un dérapage. Nous finissons tous par craquer pour une petite gourmandise, une belle pâtisserie qui nous fait de l’œil. De là vient le nom “dérives sucrées”. Ce plaisir intense que nous procure cette gourmandise, ce “plaisir coupable” d’avoir cédé.
Le plaisir de la cuisine, au sens large, me vient de mes parents et de leurs origines : un père israélien et une mère d’origine sicilienne (dont la maman était une vraie nonna sicilienne). Vous comprenez donc que j’ai toujours baigné dans une cuisine gourmande, généreuse, qui fait parler avec les mains et qui inspire le partage. Les plats familiaux, les repas du dimanche, les gâteaux très (trop) sucrés ou ceux aux origines douteuses. Comme la cassata de ma grand-mère sicilienne qui jurait que la sienne était la “vraie cassata” alors qu’elle n’avait rien à voire avec celle que l’on trouve d’ordinaire en Sicile (pâtisserie typique, à base de génoise, pâte d’amande et fruits confits).
Le choix de la pâtisserie plutôt que de la cuisine n’était donc pas tout tracé. Cela découle en fait d’un choix un peu égoïste je l’avoue : j’ai préféré garder ma cuisine pour mes proches, à un niveau de loisir, de plaisir égoïste, et de plutôt partager plus largement les plaisirs sucrés. Même si parfois, je rêve de vous proposer quelques plats salés dont j’ai le secret…
Une fois Dérives Sucrées lancé, je me suis établi une sorte de charte : faire plaisir ET me faire plaisir. Faire ce que j’aime et aimer ce que je fais.
Cela passe pour moi par un engagement : saisonnalité, naturalité, et qualité. Autrement dit, un choix de matières premières exigeant. Chocolat Nicolas Berger (chocolats pures origines incroyables), vanille bio de Madagascar ou Tahiti ; fruits de saison uniquement ; beurre, œufs, lait, farine français ; noisettes du Piémont, etc.
Ma vision de la pâtisserie, c’est faire du bon, avec du bon.
En me confiant vos commandes de pâtisseries, vous aurez l’assurance d’avoir des pâtisseries fraîches, réalisées sur commande, en minimisant le gaspillage, et préparées avec soin dans mon atelier parisien du 11e arrdt.
Crédit photo portrait : Noémie @noemiche
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